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Ce livret a été conçu par l’inspection pédagogique régionale de Sciences de la Vie et de la Terre afin d’aider les nouveaux enseignants à débuter dans la fonction. Il ne saurait cependant suppléer ni à la formation initiale ni à la formation continue. En effet, être Professeur ne s’improvise pas mais s’apprend. Cet apprentissage, jamais achevé, porte sur 2 domaines complémentaires : la maîtrise des procédures pédagogiques et celle des savoir disciplinaires. Pour être un professionnel efficace, il importe d’en assurer la conjonction, en accord avec le contexte scientifique et scolaire du moment.

C’est pourquoi ont été consignés dans ce document à la fois des données didactiques et pédagogiques d’ordre général et d’autres plus spécifiques aux Sciences de la Vie et de la Terre.

Bienvenu dans ce métier qui donne toujours des satisfactions en rapport avec les efforts fournis pour bien l’exercer.

 

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1) Les missions et compétences d’un enseignant

          2) Consignes générales

          3) Comment préparer une leçon ?

          4) Glossaire

          5) Liens Internet utiles

 

 

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I) LES FINALITES :

Les finalités correspondent à la réalisation des objectifs fixés par la politique éducative nationale (Bulletin officiel n° spécial du 31 août relatif à la loi d’orientation sur l’Education).

Quelle que soit la discipline de spécialité, ces finalités sont de 3 ordres :

A) Former l’Homme :

1) En contribuant à l’éducation de l’élève c’est à dire en développant :

- l’épanouissement, la curiosité et la créativité

- l’autonomie et l’esprit d’initiative

- la confiance en soi

- la capacité à l’effort et à l’action

- la rigueur de pensée, d’analyse et d’argumentation critique

2) En édifiant chez l’élève une base culturelle lui permettant :

- de mettre en place des savoir cohérents en évitant la compilation

- de se repérer dans le temps, dans l’espace et dans notre environnement scientifique, technologique et artistique

- de rechercher des méthodologies transférables, indépendantes des disciplines (distinguer l’objet d’étude de l’outil)

                    B) Former le citoyen :

- organiser le fonctionnement démocratique du secteur dont l’enseignant est responsable (pédagogie de contrat) et contribuer au fonctionnement démocratique de l’établissement

- responsabiliser l’élève dans les domaines disciplinaires ayant une portée éducative en matière de citoyenneté

C) Préparer à la vie professionnelle :

- permettre l’élaboration de projets professionnels individuels

- développer chez l’élève des capacités d’évolution

 

II) LE METIER D’ENSEIGNANT :

A) Les connaissances à acquérir :

Les compétences qu’un enseignant doit développer pour atteindre ces finalités et devenir un véritable professionnel mettent en œuvre 3 pôles de connaissances :

1) Un pôle lié aux connaissances disciplinaires :

La maîtrise de l’ensemble de ces connaissances et des méthodes propres aux contenus à enseigner est à la base de la formation spécifique. Elle nécessite des études et réflexions approfondies sur la structuration des savoirs et concepts disciplinaires. C’est le domaine de la didactique.

Cette maîtrise sous entend :

- Une solide connaissance des savoir disciplinaires et des conditions d’élaboration et de construction du savoir scolaire donc de ce qui devra être enseigné.

L’enseignant pourra ainsi établir une structuration cohérente de son cours, un rythme de progression adapté au niveau et aux représentations qu’ont les élèves de ce savoir.

- Des connaissances minimales sur les savoir voisins de son champ disciplinaire.

L’enseignant pourra ainsi être capable d’une approche interdisciplinaire.

- Des connaissances précises et documentées sur les différentes méthodes d’évaluation.

L’enseignant pourra ainsi construire des outils d’évaluation pertinents.

- Des connaissances ayant trait à la culture de sa discipline : sa genèse, son histoire, son épistémologie, ses enjeux sociaux et ses applications.

L’enseignant pourra ainsi établir des ponts transdisciplinaires et intégrer sa discipline dans un cadre global.

2) Un pôle lié aux connaissances relatives à la gestion des apprentissages :

La maîtrise des outils de transmission de ce savoir aux élèves est du domaine de la pédagogie. Pour maîtriser cette transmission, l’enseignant devra connaître :

- Les techniques d’observation et d’animation de groupes.

L’enseignant pourra ainsi analyser les besoins des élèves et conduire les échanges nécessaires à l’apprentissage.

- Les stratégies individuelles d’apprentissage pour permettre aux élèves de s’approprier des méthodes d’accès au savoir.

L’enseignant aidera ainsi l’élève à devenir autonome

- Les différents dispositifs d’évaluation formative, formatrice et sommative.

L’enseignant pourra ainsi conduire une réflexion critique sur les résultats obtenus et offrira à l’élève la possibilité d’apprendre à se connaître en cernant mieux ses domaines de compétence.

- Les techniques d’information et de communication (outil informatique en particulier).

L’enseignant renouvellera ainsi ses techniques pédagogiques pour utiliser avec efficacité toutes les possibilités offertes par de nouveaux outils.

- Le projet d’établissement.

L’enseignant définira ainsi la tâche qui lui revient à l’intérieur d’un projet commun de formation tenant compte des spécificités et ressources singulières de l’établissement.

3) Un pôle lié aux connaissances du système éducatif :

Il est indispensable qu’un enseignant sache quelles sont les finalités et l’organisation de l’institution scolaire.

Ces connaissances, très liées aux besoins de la société, lui permettront de :

- Mesurer les enjeux philosophiques, politiques et sociaux inhérents à toute action éducative.

- Aider l’élève dans son orientation afin qu’il puisse construire son propre projet professionnel.

- Mettre en œuvre la politique éducative fixée au plan académique en fonction de l’environnement économique, social et culturel de son établissement.

NB : Ces 3 pôles de connaissances ne sont jamais définitivement acquis. Il convient périodiquement de les actualiser et approfondir grâce à la formation continue.

B) Les compétences personnelles à acquérir :

On peut dégager 7 compétences principales :

1) Organiser un plan d’action pédagogique :

L’enseignant doit être capable d’élaborer une programmation hebdomadaire, mensuelle, trimestrielle et annuelle de son enseignement. Ce plan peut s’intégrer dans un projet pluridisciplinaire.

2) Préparer et mettre en œuvre une situation d’apprentissage :

L’enseignant devra être capable de définir des objectifs précis à atteindre. Dans le cadre défini par les programmes, il doit élaborer des séquences adaptées aux élèves pour parvenir à ces objectifs. Lors de la mise en œuvre de ces séquences, les élèves auront l’opportunité de donner libre cours à leurs propres activités, s’exerçant ainsi aux opérations mentales nécessaires aux apprentissages qui leur sont proposés.

3) Réguler le déroulement d’une situation d’apprentissage et l’évaluer :

L’enseignant devra être capable d’identifier des indices qui permettront d’apprécier l’efficacité de son action, de repérer les causes de dysfonctionnement et d’y remédier. Il doit bien entendu évaluer de façon constante les résultats obtenus grâce à l’identification de critères précis qui apprécieront tant la qualité de son action que la progression individuelle des élèves. L’élaboration d’épreuves d’évaluation permettra de mesurer les écarts entre les résultats et les objectifs fixés au départ.

4) Gérer les phénomènes relationnels :

L’enseignant devra être capable de comprendre les enjeux affectifs, d’analyser son implication personnelle pour les réguler.

5) Fournir une aide méthodologique aux élèves dans leur travail personnel :

L’enseignant devra être capable d’apporter à l’élève le soutien méthodologique et technique dont il a besoin. Cette aide se fera lors des séquences d’apprentissage, en classe et dans le cadre d’une pédagogie individualisée même si les effectifs rendent la tâche moins aisée. Il ne faut jamais perdre de vue que la séance la plus efficace est celle du silence du professeur et du travail productif de l’élève.

6) Favoriser l’émergence de projets professionnels positifs :

L’enseignant devra être capable d’aider les élèves, par sa procédure pédagogique, à révéler leurs compétences et de les conseiller efficacement au sein des équipes éducatives et du conseil de classe. Initier chez l’élève un comportement le conduisant à s’autoévaluer pour mieux cerner ses domaines de compétence (évaluation formatrice) relève de cette logique.

7) Travailler avec des partenaires :

L’enseignant devra être capable d’établir une collaboration fructueuse avec tous les partenaires relevant de l’environnement

 

 

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Depuis la loi d’orientation sur l’Education du 10 juillet 1989, les programmes sont élaborés par le Conseil National des Programmes sur proposition des groupes techniques disciplinaires (GTD). Pour chaque niveau, ces programmes sont annexés d’objectifs particuliers, de commentaires ou de compléments apportant à l’enseignant les conseils et illustrations pédagogiques dont il aura besoin pour construire son enseignement.

I) METHODES ET DEMARCHES PEDAGOGIQUES GENERALES :

Une instruction commune à chaque niveau précise que l’enseignement des Sciences de la Vie et de la Terre doit ce présenter sous la forme d’un enseignement par problèmes scientifiques conduit à partir du concret et des acquisitions antérieures. La solution de ces problèmes formulés sera recherchée en s’appuyant sur des observations et des expérimentations pour promouvoir un aller retour permanent entre le modèle construit et le réel. Cette démarche explicative expérimentale sera menée en groupes de travail restreints.

- Le plan de la leçon reprendra les problèmes successifs relatifs au sujet quelle que soit la méthode pédagogique choisie.

- Les plans d’organisation descriptifs et les études pratiques seront intégrées au fur et à mesure des besoins à la démarche scientifique.

- L’observation directe (élevages, cultures en laboratoire, observations dans le milieu naturel lors de sorties sur le terrain) sera toujours privilégiée. Les moyens audiovisuels et multimédias ne sont dans ce cas que des palliatifs.

- Les représentations initiales des élèves sur un sujet nouvellement abordé doivent être sollicitées et prises en compte dans la démarche afin que ceux ci puissent les confronter aux connaissances scientifiques apportées et prendre ainsi conscience de leur bien ou mal fondé.

- La diversité des élèves nécessite une prise en considération des difficultés individuelles et des rythmes propres de travail dans le cadre d’une pédagogie différenciée.

- Les diverses utilisations pédagogiques de l’information et de la communication (TICE) seront développées (outil informatique).

- L’élargissement des connaissances des élèves à d’autres champs disciplinaires sera également privilégié. Des activités interdisciplinaires seront facilitées par l’enseignement de thèmes transversaux en particulier dans les domaines de la santé et de l’environnement. Projets inscrits au projet d’établissement, parcours pédagogiques diversifiés, TPE peuvent en fournir l’occasion.

II) EVALUATIONS DEVELOPPEES PAR L’ENSEIGNANT :

A) Evaluation sommative :

Lorsque l’évaluation intervient au terme d’une phase clairement définie dans la progression pédagogique, elle dresse le bilan des acquisitions scientifiques. Cette évaluation périodique doit comporter des questions indépendantes les unes des autres, centrées sur des objectifs précis qui ont fait l’objet d’un apprentissage préalable. L’élève doit être informé et de ces objectifs et de la date de cette évaluation contrôle (pas de contrôles "surprise" qui ne servent qu’à piéger les élèves). Elle valide donc la somme des acquis tant en terme de connaissances que de compétences méthodologiques et techniques ; elle se traduit par une note chiffrée accompagnée de l’évaluation analytique des objectifs testés affichés dans le sujet.

B) Evaluation formative :

Lorsque l’évaluation fait partie intégrante de l’action pédagogique en cours d’apprentissage, elle ne peut avoir valeur d’examen bilan. Elle permet à l’enseignant de se rendre compte si l’élève a acquis les connaissances et les méthodes nécessaires pour atteindre l’objectif fixé et le faire progresser. Elle renseigne sur la nature des difficultés rencontrées par l’élève et sur l’effort qui reste à accomplir. Elle est formative et ne peut donc intervenir dans la moyenne en tant que telle. Elle peut par, exemple, se traduire par un + si l’objectif affiché est atteint.

C) Evaluation formatrice :

Lorsque les élèves ont pris connaissance des objectifs de formation mis en œuvre par les activités d’apprentissage et des critères de réussite associés, ils doivent être capables, à l’issue de chaque exercice, de s’autoévaluer. L’évaluation devient alors un outil de formation pour l’élève ; on initie ainsi chez lui un comportement de prise de conscience de ses domaines de compétence et des difficultés à surmonter.

L’ensemble de ces évaluations pourra être reporté sur une grille qui constituera pour chaque élève le tableau de bord de sa formation et de l’évolution de ses apprentissages.

 

 

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Comment faire acquérir savoir et savoir-faire aux élèves qui nous sont confiés dans le cadre des programmes et consignes officiels ?

I) L’ACQUISITION DES SAVOIR-FAIRE METHODOLOGIQUES ET TECHNIQUES :

Cette acquisition suppose une mise en situation d’apprentissage des élèves. Pour cela, il convient de leur proposer soit individuellement soit en petits groupes, des activités souvent appelées exercices formatifs (travaux pratiques, étude de documents …). Ces activités diversifiées et adaptées à chaque séquence doivent être organisées autour d’objectifs rigoureusement définis et explicités aux élèves. Cela signifie qu’à chaque question posée doit correspondre un objectif particulier.

Chaque objectif doit être accompagné de consignes précises pour guider les élèves et leur permettre de l’atteindre. Il est donc important de préparer avec soin les exercices qui seront proposés aux élèves en apprentissage ; ils doivent mentionner les questions, les objectifs pour chaque question et les consignes pour chaque objectif.

Les élèves ainsi mis au travail peuvent s’exercer, se frotter aux difficultés, faire des erreurs toujours formatrices. Il faut pour ce faire leur laisser le temps de la réflexion. Le professeur, libéré de la parole magistrale, en profitera pour les observer, évaluer les compétences de chacun et apporter une aide personnalisée. Cette évaluation est formative. Une réponse doit être exigée de chaque élève ou de chaque groupe. Elle peut être écrite ou orale. Ce travail de communication est aussi un objectif important.

Lorsque toutes les réponses ont été communiquées, on procède à la correction qui peut, suivant le cas, être soit donnée par l’enseignant, soit prise parmi les réponses présentées soit issue d’une discussion collective. L’ensemble, exercice, réponse de l’élève et correction, sera inclus dans le cahier classeur mais séparé de la partie cours comportant les bilans des connaissances essentielles à retenir (sur des feuilles de couleur différente par exemple).

Les élèves, à l’issue de la correction, seront amenés à s’autoévaluer (évaluation formatrice) en fonction des objectifs fixés, contribuant ainsi à la gestion de leur propre formation.

NB. : Ces activités ne sont pas des contrôles mais des exercices d’apprentissage ; elles ne doivent en aucun cas aboutir à une note chiffrée qui interviendra dans la moyenne de l’élève.

II) L’ACQUISITION DE SAVOIR :

Lors de la préparation d’une séquence, il convient d’isoler les savoir (notions, concepts et termes scientifiques) exigibles. La connaissance des commentaires liés aux programmes est à ce titre indispensable pour chaque niveau. L’élaboration, par chapitre, de référentiels peut être une aide précieuse en ce domaine.

Les activités proposées doivent permettre l’émergence de ces savoir essentiels qui seront soulignés au fur et à mesure (en les écrivant au tableau par exemple).

Les élèves devront être associés à l’élaboration des résumés (construction de phrases simples et correctes) qui seront inclus dans un plan rigoureusement, écrit au tableau et défini en fonction de la progression.

Ainsi, savoir et savoir-faire sont-ils indissociables. Pour un chapitre donné, le cahier classeur de l’élève comportera toujours, d’une part, le plan du cours, les connaissances exigibles et d’autre part, les diverses activités proposées lors des séquences d’apprentissage.

 

 

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                    CAPACITE :

Une capacité est une manière de dénommer les savoir – faire sur lesquels on estime nécessaire de faire des apprentissages. Ce sont des objectifs à long terme, toujours perfectibles, jamais totalement maîtrisés.

Ex. : Elaborer une synthèse

                    COMPETENCE :

Pour mettre en jeu une capacité donnée, on suppose une tâche ; savoir accomplir cette tâche définit la compétence de l’élève. Une compétence est donc une capacité opérationnalisée. Pour une même capacité, on ne proposera pas la même tâche en 6ème et en terminale. On distingue donc une gradation des compétences pour une même capacité.

Ex. : Pour la capacité "élaborer une synthèse ", on demandera comme compétence à un élève de 6ème de savoir donner un titre à un schéma alors qu’un élève de 1ère ou de terminale devra tirer une conclusion d’un ensemble de données…

EVALUATION FORMATIVE :

Cette évaluation permet à l’enseignant d’apprécier en cours d’apprentissage les compétences de l‘élève pour une capacité donnée. Elle peut être purement qualitative ou quantifiée (+ ou – par exemple). Elle suppose la définition de critères précis et clairement explicités ; elle permet de différencier suivant les progrès de chaque élève sa pédagogie.

EVALUATION FORMATRICE :

Cette évaluation correspond à un dispositif d’apprentissage mis au service de l’élève. Son but essentiel est de lui permettre de se forger progressivement ses propres outils de construction du savoir. Elle suppose une autoévaluation de l’élève et une maîtrise de ses apprentissages. L’élève gère lui – même son évaluation et ses progrès.

EVALUATION SOMMATIVE :

Elle correspond à une évaluation bilan de contrôle. Elle ne peut porter que sur des savoir et savoir-faire qui ont fait l’objet d’un apprentissage préalable. Elle donne lieu en général à une note sur 20.

                    DIDACTIQUE :

C’est une démarche et plus précisément un certain mode d’analyse des problèmes généraux de l’enseignement. On parle de didactique des disciplines car elle inclut une réflexion et une recherche sur l’organisation des savoir disciplinaires.

                    PEDAGOGIE :

C’est une méthode. Etymologiquement elle se définit comme la science de l’éducation des enfants. Au sens strict, la pédagogie s’intéresse aux procédures de transmission des savoir. Elle est parfois et à tort confondue avec la didactique.

                    EPISTEMOLOGIE :

C’est la branche de la philosophie qui s’intéresse à l’étude critique des Sciences prises en tant qu’objet. Elle tend à définir leur origine, leur valeur et leur portée. L’épistémologie entre dans la théorie de la Connaissance.

 

 

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1) Serveur du Ministère de l’Education nationale :

http://www.education.gouv.fr/

- BO, textes officiels, …

2) Serveur de l’Académie de GRENOBLE :

http://www.ac-grenoble.fr/svt/debutant/index.html

- Livret de l’enseignant débutant

3) Serveur de l’Académie d’ORLEANS - TOURS :

http://www.ac-orleans-tours.fr/svt/InfosProfs/pcdefault.htm

- Concepts des programmes de collège

- Critères d’évaluation de l’inspection individuelle

4) Serveurs académiques SVT :

http://www.inrp.fr/Acces/Biogeo/html/ressvt.htm

- Adresses de tous les serveurs académiques SVT